La Fille du tambour-major

€ 2,00

EXTRAIT:

La scène se passe en Italie, en 1800 : au premier acte, dans un couvent à Biella ; au deuxième acte, dans le palais du duc Della Volta, à Novare, et au troisième acte, à Milan.

S’adresser, pour la musique, à MM. Choudens, éditeurs, 30, boulevard des Capucines.

ACTE PREMIER

Le théâtre représente le jardin d’un couvent. — A gauche, les arcades du cloître formant galerie ; sous cette galerie, la porte qui conduit dans le couvent. — Au fond, un mur au milieu duquel est une grande porte charretière. — A droite, au milieu des arbres, un petit pavillon ; sur le mur de ce pavillon, une niche, dans laquelle est une madone. — Bancs et chaises de jardin.

Scène PREMIÈRE

LA PRIEURE, FRANCESCA, LORENZA, LUCREZIA, PENSIONNAIRES, puis STELLA, puis GRÉGORIO.

Au lever du rideau, les pensionnaires sont en train de prier la madone. — A droite, sur un banc de jardin, la prieure est endormie, un gros livre ouvert sur ses genoux.

CHŒUR DES PENSIONNAIRES.

Reçois, sainte madone,

L’hommage de nos cœurs,

O toi, notre patronne !

Accepte ici ces fleurs.

Tu fus toujours si bonne

Pour les pauvres pécheurs,

Reçois, sainte madone,

L’hommage de nos cœurs.

Stella paraît au fond.

LORENZA.

C’est Stella !…

A Stella qui descend.

Chut !

STELLA.

Pourquoi ?

LORENZA, lui montrant la prieure qui dort.

Silence !…

EXTRAIT:

La scène se passe en Italie, en 1800 : au premier acte, dans un couvent à Biella ; au deuxième acte, dans le palais du duc Della Volta, à Novare, et au troisième acte, à Milan.

S’adresser, pour la musique, à MM. Choudens, éditeurs, 30, boulevard des Capucines.

ACTE PREMIER

Le théâtre représente le jardin d’un couvent. — A gauche, les arcades du cloître formant galerie ; sous cette galerie, la porte qui conduit dans le couvent. — Au fond, un mur au milieu duquel est une grande porte charretière. — A droite, au milieu des arbres, un petit pavillon ; sur le mur de ce pavillon, une niche, dans laquelle est une madone. — Bancs et chaises de jardin.

Scène PREMIÈRE

LA PRIEURE, FRANCESCA, LORENZA, LUCREZIA, PENSIONNAIRES, puis STELLA, puis GRÉGORIO.

Au lever du rideau, les pensionnaires sont en train de prier la madone. — A droite, sur un banc de jardin, la prieure est endormie, un gros livre ouvert sur ses genoux.

CHŒUR DES PENSIONNAIRES.

Reçois, sainte madone,

L’hommage de nos cœurs,

O toi, notre patronne !

Accepte ici ces fleurs.

Tu fus toujours si bonne

Pour les pauvres pécheurs,

Reçois, sainte madone,

L’hommage de nos cœurs.

Stella paraît au fond.

LORENZA.

C’est Stella !…

A Stella qui descend.

Chut !

STELLA.

Pourquoi ?

LORENZA, lui montrant la prieure qui dort.

Silence !…

PrijsVerzendkostenTotaal
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